Cette œuvre verticale révèle l’émergence silencieuse d’un visage qui semble se former dans la matière même. Les textures épaisses, métalliques et minérales donnent l’impression que la figure est sculptée dans une roche ancienne ou dans un paysage submergé. Les tons de turquoise, de bronze et de gris évoquent l’eau, l’oxydation, le passage du temps.
L’œil mi-ouvert transmet une présence calme, presque spirituelle, comme si ce visage appartenait à une entité ancienne, gardienne d’un monde intérieur ou d’une mémoire enfouie. Les fissures et les lignes qui parcourent la surface rappellent des racines, des failles géologiques ou des courants marins : une cartographie émotionnelle.
« Le Visage des Profondeurs » semble capter un moment de révélation — celui où quelque chose de caché remonte à la surface, à la fois fragile, puissant et chargé de mystère.
Cette œuvre verticale révèle l’émergence silencieuse d’un visage qui semble se former dans la matière même. Les textures épaisses, métalliques et minérales donnent l’impression que la figure est sculptée dans une roche ancienne ou dans un paysage submergé. Les tons de turquoise, de bronze et de gris évoquent l’eau, l’oxydation, le passage du temps.
L’œil mi-ouvert transmet une présence calme, presque spirituelle, comme si ce visage appartenait à une entité ancienne, gardienne d’un monde intérieur ou d’une mémoire enfouie. Les fissures et les lignes qui parcourent la surface rappellent des racines, des failles géologiques ou des courants marins : une cartographie émotionnelle.
« Le Visage des Profondeurs » semble capter un moment de révélation — celui où quelque chose de caché remonte à la surface, à la fois fragile, puissant et chargé de mystère.