Dans un tourbillon de gris, de blancs et de touches terre brûlée, cette œuvre capture l’instant suspendu où la tempête bascule entre chaos et silence. La matière tourbillonne, vibrante et dense, comme si le vent lui-même avait modelé la toile. Le cadre en damier accentue l’impression de vertige, enfermement et mouvement à la fois. « L’Œil du Cyclone » évoque une force brute, une transformation en marche, et ce calme mystérieux qui naît au cœur même du tumulte.
Dans un tourbillon de gris, de blancs et de touches terre brûlée, cette œuvre capture l’instant suspendu où la tempête bascule entre chaos et silence. La matière tourbillonne, vibrante et dense, comme si le vent lui-même avait modelé la toile. Le cadre en damier accentue l’impression de vertige, enfermement et mouvement à la fois. « L’Œil du Cyclone » évoque une force brute, une transformation en marche, et ce calme mystérieux qui naît au cœur même du tumulte.